dimanche 24 janvier 2010

Débridés mots

Les mots des cris,
L'écrit des sots

Sont sur la tête
Des sots l'y laissent.

Ventre avachi
Voyez-vous ça!

A mer osée,
Amère rosée.

De leurs destins
Si sybilins.

J'aime à vos cous
Comme par à coup.

Je vous le dis
Sans parodie.

Merci oh oui!
Triste infini.

2 commentaires:

Infini...T a dit…

Esseulé Infini,
perçu si attristé
et tout apetissé,
trop con si…

Plus d'ailes
ni poings.
Plus rien d'humain,
sauf… l'essentiel.

Oh, T…
La douceur à surprendre,
et le cœur à suspendre.
Plus rien à défendre,
ni points pour l'étendre…

Se rendre.
Alunir sans faillir…

Lune où l'autre déserte toujours l'espace Infini…T

:o)

L'âme en chantier a dit…

Très joli, la dernière phrase me plait particulièrement.