J'interprète, j'interprète; mais nous interprétons tous et jamais n'expliquons, nous sommes tous les exégètes de notre sacré monde, et notre dieu est l'en-soi, l'absolu, ce que nous phantasmons que le monde est hors de toute détermination relative.
4 commentaires:
Démocrite
a dit…
Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
Mon dernier message est des plus tempérés et courtois il me semble, et il est plus une réaction à votre façon de répondre aux gens qui est pleine d'implicites facilement compréhensibles. J'ai répondu à ce message d'ailleurs en citant quelques uns de vos propos qui n'exprimaient à mon sens qu'un ressentiment face à mes positions plutôt qu'une véritable argumentation.
Pour les attaques en *-isme, là encore je renvois à vos propres propos qui s'ils ne me visaient pas, visaient quoi au juste? Une position que vous pensez me voir défendre? "Prendre racine" oui, je maintiens l'impression que m'a donné votre position ferme, celle là même qui m'a fait réagir initialement concernant la réfutation définitive. Nous prenons d'ailleurs tous racines dans quelque chose, que ce soit l'idée figée du mouvement, ou d'autres choses encore.
Je suis étonné de cette censure, et du peu de remise en question dont vous faites montre à votre égard, étant prompt à fustiger autrui lorsqu'il se permet d'emprunter les mêmes méthodes argumentatives que vous. Ce choix de censure d'ailleurs, me semble aller dans ce sens, et je vous laisse bien volontiers le droit de vous créer un domaine dont vous êtes le maître et le possesseur, je n'irai pas vous le disputer: je me tiens éloigné le plus possible de toute velléité de pouvoir et des désirs de verticalité.
Je n'essayais pas de faire dire à votre propos ce qu'il ne dit pas mais plutôt de réagir sur un point qui me semble important parce qu'il correspond à une idée reçue sur la science que je tente de défaire depuis maintenant quelques années. Votre article, par ailleurs, m'a tout à fait plu et j'en épouse bien volontiers le mouvement principal, mais cela m'a paru inutile de le souligner tant mes propres textes vont aussi dans ce sens là.
Pour finir, je suis loin de m'être emporté, et pour cela je déplore que mon commentaire n'ait pas été publié, tout un chacun aurait pu se faire un jugement personnel au lieu de se fier au vécu que vous venez librement (et ce sera toujours le cas) exprimer ici. J'argumentais (de manière limitée certes par les contraintes d'un commentaire apparaissant sur un autre blog) sur une idée qui m'a pendant longtemps occupé l'esprit, et sur laquelle je me permettais de partager quelques points de détails supplémentaires aux yeux des gens intéressés.
Quant à ce que je ne veux pas interroger, je suis tout ouïe, étant assez enclin à croire n'avoir précisément pas de censure envers moi-même. Si vous voulez bien partager cela avec moi, je suis tout à fait curieux et attentif, ne me sentant précisément rien à défendre...
En ce qui concerne la rancune, je n'en tiens aucune, ou, dans des conditions particulières auxquelles la situation présente ne correspond en rien. Pas de rancune donc, mais une leçon à tirer de tout ça, peut-être.
En conclusion, je m'abstiendrai désormais de commenter sur votre blog, je ne suis pas là pour imposer mes conclusions temporaires sur un quelconque sujet, surtout si la confrontation des idées est mal vécue par l'interlocuteur supposé. Je me permets toutefois de placer ici votre dernier commentaire, celui qui m'a amené à une réponse que vous avez censurée (mais qui se retrouve de toute façon, en substance, sur mes différents textes dits philosophiques).
Suite au refus par l'auteur de faire figurer le message dont il est question dans ce commentaire (celui ayant appelé une réponse de ma part que l'auteur a censuré sur son blog), je fais figurer un lien vers la page de commentaires en question: http://clinamen.canalblog.com/archives/2016/05/19/33838706.html#comments
Je tiens à préciser encore une fois, que ma réponse au dernier message de l'auteur a été censuré et que je ne l'ai malheureusement pas enregistrée...
4 commentaires:
Bonjour Démocrite.
Mon dernier message est des plus tempérés et courtois il me semble, et il est plus une réaction à votre façon de répondre aux gens qui est pleine d'implicites facilement compréhensibles. J'ai répondu à ce message d'ailleurs en citant quelques uns de vos propos qui n'exprimaient à mon sens qu'un ressentiment face à mes positions plutôt qu'une véritable argumentation.
Pour les attaques en *-isme, là encore je renvois à vos propres propos qui s'ils ne me visaient pas, visaient quoi au juste? Une position que vous pensez me voir défendre? "Prendre racine" oui, je maintiens l'impression que m'a donné votre position ferme, celle là même qui m'a fait réagir initialement concernant la réfutation définitive. Nous prenons d'ailleurs tous racines dans quelque chose, que ce soit l'idée figée du mouvement, ou d'autres choses encore.
Je suis étonné de cette censure, et du peu de remise en question dont vous faites montre à votre égard, étant prompt à fustiger autrui lorsqu'il se permet d'emprunter les mêmes méthodes argumentatives que vous. Ce choix de censure d'ailleurs, me semble aller dans ce sens, et je vous laisse bien volontiers le droit de vous créer un domaine dont vous êtes le maître et le possesseur, je n'irai pas vous le disputer: je me tiens éloigné le plus possible de toute velléité de pouvoir et des désirs de verticalité.
Je n'essayais pas de faire dire à votre propos ce qu'il ne dit pas mais plutôt de réagir sur un point qui me semble important parce qu'il correspond à une idée reçue sur la science que je tente de défaire depuis maintenant quelques années. Votre article, par ailleurs, m'a tout à fait plu et j'en épouse bien volontiers le mouvement principal, mais cela m'a paru inutile de le souligner tant mes propres textes vont aussi dans ce sens là.
Pour finir, je suis loin de m'être emporté, et pour cela je déplore que mon commentaire n'ait pas été publié, tout un chacun aurait pu se faire un jugement personnel au lieu de se fier au vécu que vous venez librement (et ce sera toujours le cas) exprimer ici. J'argumentais (de manière limitée certes par les contraintes d'un commentaire apparaissant sur un autre blog) sur une idée qui m'a pendant longtemps occupé l'esprit, et sur laquelle je me permettais de partager quelques points de détails supplémentaires aux yeux des gens intéressés.
Quant à ce que je ne veux pas interroger, je suis tout ouïe, étant assez enclin à croire n'avoir précisément pas de censure envers moi-même. Si vous voulez bien partager cela avec moi, je suis tout à fait curieux et attentif, ne me sentant précisément rien à défendre...
En ce qui concerne la rancune, je n'en tiens aucune, ou, dans des conditions particulières auxquelles la situation présente ne correspond en rien. Pas de rancune donc, mais une leçon à tirer de tout ça, peut-être.
En conclusion, je m'abstiendrai désormais de commenter sur votre blog, je ne suis pas là pour imposer mes conclusions temporaires sur un quelconque sujet, surtout si la confrontation des idées est mal vécue par l'interlocuteur supposé. Je me permets toutefois de placer ici votre dernier commentaire, celui qui m'a amené à une réponse que vous avez censurée (mais qui se retrouve de toute façon, en substance, sur mes différents textes dits philosophiques).
Suite au refus par l'auteur de faire figurer le message dont il est question dans ce commentaire (celui ayant appelé une réponse de ma part que l'auteur a censuré sur son blog), je fais figurer un lien vers la page de commentaires en question: http://clinamen.canalblog.com/archives/2016/05/19/33838706.html#comments
Je tiens à préciser encore une fois, que ma réponse au dernier message de l'auteur a été censuré et que je ne l'ai malheureusement pas enregistrée...
Enregistrer un commentaire