Dans un champ d'âmes assises, fauchant les jeunes pousses de ma croissance exquise; un tronc noueux coupé en trogne élance des têtards zélés vers un vague illétré. Chaque jour élaguer les folles et immatures branches afin d'alimenter l'âtre d'une résistance à l'ordre qui produit ces débris d'âmes éparpillés que sont les plans euclidiens des nations -- où d'atomiques consciences têtent compulsivement la si captieuse science au goulot de médias anticorps de vérité.
Et toute cette arbitraire force, fardée d'institutions, se présente en Nature tandis que sous le voile du mensonge, les moissonneurs des corps résignés tranchent dans l'aubier: butineurs de résine au cœurs amidonnés.
Pour cela, j'étête ma bicéphale entité afin que des racines une révolte pousse, innombrable: de furie et de prose.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire