Il faut que la musique roule comme les tambours du coeur
Pour que les mots s'enroulent dans l'âme du lecteur;
Calligraphie, lettres se prenant la main
Et se pressent sublimes pour enlacer l'humain.
Certaines oeuvres émergent du destin,
Et comme les bourgeons éclosent au matin.
Ô infini du fini, subsistes-tu encore?
Dans les pétales froissés de quelque bouton d'or
Que de graciles doigts ont posé sur le temps,
Subtile délinéation esquissée lentement...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire