Peut-on forer un chemin de sagesse dans la vie sociale sans que personne n'en sache rien, sans abandonner tout le monde derrière soi -- seulement en franchissant par moments la porte qu'on a découpé et en foulant le sentier patiemment tracé, coudée après coudée, comme un prisonnier désireux de concilier claustration et complet détachement?