Mes nuits blanches au creux de ton sourire
N'ont pas cette blancheur impersonnelle
Mais cette tiède nuance de tes joies éternelles
Les matins froids que ton sourire réchauffe
Quand l'humanité gît encore dans l'onirique étoffe
Me sont tant de promesses bienheureuses
Où ma nuit se penche sur ta peau lumineuse
Et moi je sais, lové dans une étoile
Que le soleil luira au son même de ta voix